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Quel événement vous a amené à réaliser votre première recherche ?

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Portrait de Anonyme
#1
Suite au , nous vous proposons de partager votre expérience dans ce forum.
Portrait de Pégi_Essef
Aucun évènement particulier. Peut-être l'intérêt de la recherche en elle-même ? Surtout lorsque l'on peut le faire de chez-soi par internet. Amicalement, Pierre
Portrait de Doc Genea
Pour ma part, jeune, je me posais déjà beaucoup de questions sur mes origines et cherchais à identifier toutes les personnes qui étaient cités dans les échanges familiaux. Les éléments déclencheurs ont été la mort de ma grande-mère le 22/04/1989 vers 6h00 du matin alors que mon premier fils naissait le 23/04/1989 à 1h05, soit moins de 24 heures entre les deux évènements. Dès lors, j'ai eu besoin de faire le lien entre la génération qui arrivait et celle qui venait de partir en comblant les quelques 19 heures de "trou". Depuis, je ne me suis plus arrêté et j'ai relié mes 4 enfants à plus de 80.000 cousins !
Portrait de Marcel MICHEAU
il y a une dizaine d'années , je suis tomber sur le site généanet , puis sur généweb et c'est comme ça que j'ai commencé ma généalogie , mon père me parlait souvent de la famille de ses parents et grd parents . J 'ai commencer par quelques recherches en mairie puis avec l'entraide de geneweb , grace à ces bénévoles qui m'ont trouvés bcp d'archives d'actes sur ma famille , j'ai ensuite choisi ( Ancestrologie ) comme logiciel pour commencer à faire ma généalogie et je continue grace à l'ouverture en ligne des A D .
Portrait de Nathcaud
Bonsoir, Aucun événement particulier m'a donné envie de rechercher mes racines. Cordialement. Nathalie
Portrait de Michel RAVET
Un prof d'histoire passionnant, nous avait emmenés aux archives départementales, quand j'avais 15 ans ... et voilà, cela fait 40 ans que ça dure ... avec un fort rebond en 1997, quand j'ai découvert l'informatique, et donc le logiciel Geneatique, et peu de temps après quand je suis tombé dans Internet, et donc Geneanet, puis les archives en ligne ...
Portrait de Richard HERANVAL
Mon père me disait que sa grand-mère était surnommée l'alsacienne sans savoir où elle était née : nom de jeune fille STEINER, nom marital METOT. Pourtant nous vivons en Seine-Maritime (76) près du Havre en Normandie; elle était décédée en 1919 à La Trinité du Mont (76) âgée de 80 ans En juillet 1988, j'allais en vacances en Alsace et je voulais savoir d'où venais cette arrière-grand-mère. Ceci m'a décidé à démarrer ma généalogie. A ce moment j'ai découvert que l'Alsace commençait à Notre-Dame de Gravenchon (76) puisque mon arrière-grand-mère STEINER y était née. Deux générations de "filles-mères" la précédaient en ce lieu avant de découvrir que l'alsacien était venu s'installer en Normandie, évêché de Rouen, paroisse St Georges de Notre-Dame de Gravenchon en 1786. Détail intéressant, il n'était pas alsacien puisque né à Rodalbe en Lorraine près de Metz ; il n'était pas né français, non plus, puisque le duché de Lorraine n'est rattaché à la couronne de France qu'à la mort du duc Stanislas en 1766. Vers 1783 il devait être militaire et en "garnison" près de Petiville (76) où il engrossa une jeune fille LETERC d'où naquit une fille en octobre 1783 qu'il reconnut par l'intermédiaire du tribunal du bailliage de Besançon (j'ai le document) ; incroyable les distance qui pouvaient être parcourue à pied à cette époque ! Il revint s'installer et se marier à Notre-Dame de Gravenchon en 1786. Sa descendance faisait partie des "horsains", terme normand cauchois pour désigner les étrangers, c'est à dire tout non-normand. Cet ancêtre Lorrain ne devait pas parler le normand ou cauchois et très mal le français d'où ce "rejet" par les habitants locaux qui ont surnommé ses descendants : les alsaciens. Aucune des filles ne trouvèrent à marier mais elles furent filles-mères. En 1841, un descendant mâle, Florentin STEINER dut épouser une polonaise Marie Julie Antoinette MIKUSK, elle aussi certainement victime du même rejet. Quel ostracisme, cela faisait pourtant une cinquantaine d'année qu'il étaient installés dans la région mais pas vraiment intégrés. Voilà comment a débuté mon goût pour la généalogie.