Geneanet s'étoffe encore et toujours
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Plusieurs collections de Geneanet se sont étoffées depuis cet été. Pour tous les internautes, même sans abonnement Premium, deux nouveaux départements s’ajoutent aux « Tables de mariages du XIXe siècle », portant le total à 35 départements complètement dépouillés. Il s’agit de la Haute-Vienne et de l’Orne.
Rappelons que ce projet propose, au minimum, un relevé complet des tables décennales. Tout l’intérêt de ce relevé est de pouvoir localiser rapidement un mariage et avec la date ainsi trouvée sur Geneanet, il est ensuite très facile de se rendre sur le site d’Archives départementales concerné et de consulter l’acte de mariage complet de vos ancêtres.
Pour ces deux nouveaux départements, l’intitulé « Tables de mariages du XIXe siècle » est même totalement dépassé puisque les relevés vont jusqu’en 1948 pour une bonne partie des communes de la Haute-Vienne et commencent en 1737 pour une quinzaine d’entre elles. Pour l’Orne, les relevés de mariages commencent dès 1593 pour quelques communes, et vont jusqu’à 1942 pour une bonne partie d’entre elles.
Toujours d’accès libre et gratuit, mais concernant un autre domaine, 37 nouveaux registres de l’état-civil régimentaire numérisés ont été mis en ligne. Cette source, peu connue, permet de découvrir dans certains cas les causes exactes du décès d’un soldat sur le front. Les registres en ligne sont à consulter depuis GeneaWiki et leur indexation est en cours.
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Et pour continuer à proposer des bases d’accès libre et gratuit, Geneanet a lancé une grande opération d’indexation des registres d’inhumations des cimetières.
Pour cette première vague à laquelle vous êtes invités à participer, sont concernés les cimetières de Strasbourg, en ligne sur les Archives de la Ville et de l’Eurométropole, comme sur Geneanet, ainsi que celui de la Chartreuse de Bordeaux, visibles sur le portail des Archives de Bordeaux Métropole et sur Geneanet.
Pour participer, rien de plus simple : rendez-vous sur la plateforme d’indexation collaborative, cliquez sur « choisir par zone géographique », zoomez sur la ville de votre choix (Bordeaux ou Strasbourg) et cliquez sur le pictogramme des registres journaliers d’inhumation. Les fonds signalés d’un pictogramme rouge sont disponibles en mode « relecture », c’est-à-dire que des informations sont déjà indexées dans ces registres mais qu’il faut les corriger et compléter. Les fonds signalés d’un pictogramme vert ne sont quant à eux pas du tout indexés, il faut donc les relever entièrement.
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Signalons enfin, pour les abonnés Premium exclusivement, l’arrivée sur Geneanet de quatre nouvelles indexations intégrales provenant d’Ancestry :
- l’état civil et les registres paroissiaux de Saône-et-Loire, de 1520 environ jusqu’à 1936 (7 084 736 naissances, 2 360 550 mariages et 5 441 236 décès, soit 38 millions d’individus) ;
- l’état civil et les registres paroissiaux du Val-de-Marne depuis 1580 environ jusqu’à 1936 (524 832 naissances, 191 647 mariages et 683 668 décès, soit 6,4 millions d’individus) ;
- l’état civil et les registres paroissiaux de Toulouse, du XVIe siècle à 1911 (707 138 naissances, 211 153 mariages et 670 539 décès, soit 1,8 millions d’individus) ;
- les recensements de Toulouse de 1801 à 1911, soit 1 108 499 individus.
Bien évidemment, toutes ces nouvelles données sont accessibles par collection, grâce aux liens que nous vous donnons dans cet article, mais également via la recherche globale.
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