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Giulia Sarkozy-Bruni, une fille aux racines européennes

Avec pour ancêtre n° 16 384, à la 13e génération, le capitaine hongrois Mihaly Sarközy, capturé et exécuté par les Turcs en 1562, le bébé né hier à la clinique de La Muette (à Paris), a des ancêtres :

à la fois à 31,2 % français et italiens :

  • quartiers 22 et 23, avec les grands-parents maternels de Mme Sarkozy mère : Henri Bouvier, épicier à Lyon et natif de Sermerieu, dans l’Isère, et son épouse, Caroline Rosset, native de Traize, en Savoie : racines dans les localités de Cessieu et Passins (38), Saint Pierre-d’Alvey (73), Surjoux, Billiat (01),

  • quartier n° 29 : Albertine Renand, épouse Borini (ancêtres à Monetier-Mornex, Samoëns, Arbusigny, en Haute-Savoie),

  • quartiers n° 30 et 31 : Planche / Rosier, dispersés entre La Loire et le Puy-de-Dôme (Arconsat, Les Salles), l’Isère (Le Grand-Lemps, Rives), l’Ardèche (Tournon, Mauves) et la Haute-Savoie (Reignier),

à 25 % hongrois (ligne patronymique : quartiers 16 à 19 : Sarkozy/Toth),

à 12,5 % grecs, avec les quartiers 20 et 21 (Mallah / Magriso : grands-parents paternels de Mme Sarkozy mère : familles de juifs de Salonique).

Pour ce qui est de son prénom, Giulia, version italienne de notre prénom Julia, féminin de Jules, vieil héritage de la gens romaine des Iulia, dont une branche avait comme l’on sait été surnommée Caesare (d’où le nom de Jules César), on peut noter qu’il a été le titre à la fois d’un film hongrois, tourné en 1918, d’une chanson des Beatles, écrite en 1968 par John Lennon pour sa mère, qui portait ce prénom.

Deux références intéressantes de la part de ses parents et un prénom en tous les cas totalement inattendu, puisqu’à ma connaissance aucunement présent dans aucune des généalogies de ses parents aussi loin que l’on puisse remonter, avec pas plus de Julia que de Juliette ni de Julie. Et pas plus encore que de Jules…

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