Les origines familiales de Jean-Pierre Pernaut
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La généalogie de celui que Le Point vient de surnommer « L’Empereur du 13 heures », a été établie dès 2003, par deux généalogistes travaillant de concert, Myriam Provence et sa consoeur du Nord, Chantal Mougel. De ce fait, la plupart des branches de l'arbre généalogique de Jean-Pierre Pernaut sont assez faciles à explorer, même si l’arbre mis en ligne sur Geneastar se révèle fort incomplet, en ne dépassant jamais la 7e génération, tout en ayant malgré tout, à ce jour, permis à 24 passionnés de se découvrir ses cousins.
Né en 1950, à Amiens (Somme), il était fils de Jean-Paul Pernaut, centralien et directeur d’une usine de machines-outils, et de Françoise Pillot, pharmacienne, décédée à l’âge de 101 ans, native de Cayeux-sur-Mer.
La lignée patronymique offre une famille ayant connu une belle ascension sociale, à force de travail, avec d’abord deux générations d’industriels à Amiens, devant leur promotion à l’arrière grand-père du journaliste, Alfred Auguste Pernaut, né en 1859 à Albert qui, après avoir appris le métier d’ouvrier mécanicien – à l’époque, dans les techniques de pointe – était devenu constructeur. Superbe réussite, pour ce fils d’un simple manouvrier-journalier, lui-même fils et petit-fils de ménagers, dont on peut continuer à remonter les origines, pour rapidement buter sur Étienne Firmin Pernaut, né vers 1754, décédé en 1830 à Albert, marié successivement à Marie Antoinette Wallon puis à Antoinette Marie Alexine Sueur, dont on n’a pu retrouver les mariages et que l’arbre mis en ligne sur Geneanet par Patrick Bardinon dit fils d’un Mathieu Pernaut. Un aïeul que nul n’a pu à ce jour dépasser, du fait des désastreuses destructions d’archives due à la guerre de 1914.
La lignée maternelle, avec un classique grand-père instituteur, natif de Bonnay, dans la Somme, passe par un tricotier pour conduire aux mêmes journaliers, avec le couple Louis Joseph Pillot / Marie Catherine Prudence Matte, originaire du Quesnoy, que l’on pourra en revanche dépasser, notamment via l’arbre mis en ligne par Martine Granozio, arbre qui se montre fort complet sur les quartiers maternels, avec la lignée PILLOT remontée jusqu’à un couple (Pierre Pillot/Marie Dallongeville), marié avant 1690 et établi à Bouchoir.
Un arbre très classique et homogène, dont la très grosse majorité des racines puisent dans la Somme, et notamment à Albert, tout en offrant, très logiquement, des branches conduisant dans le département voisin du Pas-de-Calais (notamment à Buire-aux-Bois).
Des origines dont le présentateur vedette du JT de TF1 était fier et qu’il connaissait bien, pour s’y être personnellement intéressé de très près et avoir même un compte sur Geneanet.
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Commentaires
C’est ce qui s’appelle se
on peut dire différemment de
Bonsoir,
Bonjour,
Remarque très judicieuse.