Un nouveau site Internet pour le Cercle généalogique de Languedoc

C’est la disparition des « pages persos » d’Orange qui a été le déclencheur de la refonte du portail Internet du Cercle généalogique de Languedoc (CGL). Comme près de 14 000 sites de généalogie référencés par l’hébergeur, il fallait trouver un autre espace pour abriter le site avant le 5 septembre dernier. Les responsables du CGL avaient le choix entre transposer leurs pages ailleurs sans les modifier, ou profiter de l’occasion pour donner naissance à un site tout neuf. Ils ont choisi avec raison la deuxième option, fixant cinq objectifs phares :

• Afficher le modernisme d’une mise en page contemporaine (claire, épurée et très lisible) ;
• Proposer un site « responsive », c’est-à-dire utilisable autant sur un smartphone ou une tablette que sur un ordinateur de bureau ;
• Regrouper l’ensemble des ressources sur un site unique (relevés, espace de discussion, etc.) ;
• Intégrer un moteur de recherche global plus performant ;
• Permettre à l’ensemble des membres de l’association de proposer des articles.

La nouvelle page d’accueil présente un menu dans sa partie supérieure et, en son centre, les actualités du CGL et de toutes ses sections. Chacune d’entre elles a d’ailleurs son accès dédié dans le bloc situé à droite de l’écran.

Sur ce nouveau portail, n’ont pas été oubliées non plus des bases anciennes et essentielles comme celle des naturalisations survenues en Algérie, au Maroc et en Tunisie de 1830 à 1930, héritée de l’Amicale généalogie Méditerranée (AGM), ou celle baptisée « Ceux de 14-18 », dédiée à tous les soldats qui, malheureusement, n’ont pas pu entendre les clairons régimentaires sonner le cessez le feu le lundi 18 novembre 1918.

La migration de toutes les ressources, et surtout leur réorganisation, n’est pas encore complète et c’est pourquoi l’ancien site est archivé et toujours accessible pour quelques semaines. Espérons que tout sera finalisé pour le 15 décembre, jour du 46^e anniversaire de cette année 1977 où l’association fut déclarée à la préfecture de Toulouse.