La frappe des monnaies faisait l’objet d’un contrôle permanent et des personnes de confiance, comme dans : « Lesquels Arragon et Rous ont fait ouverture en notre présence d’un coffre dont ils ont chacun une clef…»
Dans le processus de fabrication des monnaies, le contre-garde assistait le garde ou juge-garde à qui qu’incombait à la fois la responsabilité des métaux confiés et des pièces qui venaient d’être fabriquées.
Dès le 12e siècle, des ateliers se spécialisèrent dans la copie des ouvrages littéraires ou scientifiques, des rapports étroits existaient alors entre le client-commanditaire et le copiste, qui était aussi souvent tout à la fois traducteur et éditeur.