Noms de famille

Noël

Le nom de baptême évoquant la fête chrétienne de la nativité explique l’origine de ce nom de famille. Du latin dies natalis, « le jour de la naissance », signifiait aussi « primitif », « originel » qui a donné l’ancien français nael, « noël ». Resté attaché à la fête de la naissance du Christ, le nom de baptême NOËL fut souvent donné à un enfant né le 25 décembre. Cette tradition existe encore de nos jours (à confirmer auprès des quelques 30 000 personnes qui portent les prénoms Noël et Noëlle en France). Dès l’origine de l’Eglise, la naissance du Christ fut célébrée par une fête spéciale, mais la date ne fut fixée au 25 décembre qu’au IVe siècle par le pape Jules Ier. A partir du VIe siècle, les prêtres célébraient trois messes pour cette fête : la première dite « de la nuit », la seconde « de l’aurore », la troisième « du jour ». Durant tout le Moyen Âge, l’Occident chrétien vivait au rythme de l’Eglise, la fête de Noël représentait la plus grande des réjouissances. Le Clergé et le Peuple unissaient leurs efforts pour décorer les églises, animer des crèches, des personnages vivants représentaient l’Enfant, la Vierge, saint Joseph, les bergers, les anges, etc. Fréquence et localisation : NOËL, avec 10 500 foyers, soit environ 28 000 personnes, ce patronyme occupe le 74e rang des noms les plus fréquents en France. Sa répartition géographique le situe essentiellement au dessus de la Loire, notamment dans les Vosges, en Meurthe-et-Moselle, à Paris, dans le Pas-de-Calais, en Seine-Maritime, etc.

Nos dossiers associés aux noms de famille

Dans les médias, dans les échanges professionnels, dans les relations avec les prestataires ou les administrations et bien sûr dans les discussions avec des connaissances, récentes ou de longue date, l’annonce du prénom a tendance à supplanter le nom de famille… Que cela signifie-t-il ?
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Coup de théâtre en pleine « trêve des confiseurs », une proposition de loi veut offrir la possibilité de choisir entre le nom du père et de la mère ! Pourquoi et comment ? Explications de Patrick Vignal, député porteur de ce texte, et analyse de sa portée.
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Les noms de famille des Québécois de souche ont été introduits par les immigrants venus principalement de France aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Si le fait de situer un nom de famille sur une carte peut se concevoir comme première approche de la quête des origines, cette démarche peut aussi se révéler comme une clé pour débloquer une recherche. Voici un tour d’horizon des sites Internet à interroger, avec leurs points forts et leurs limites.
Depuis 2016, la procédure de rectification administrative permet de faire corriger une erreur matérielle simple, par exemple, un accent manquant, une lettre en trop, un prénom mal orthographié, directement par l'officier d'état civil du lieu où l'acte a été dressé.
S’il est possible de changer de nom de famille pour un motif légitime, il est également possible de le faire rectifier. Cette modification peut être faite directement par l'officier d'état civil. Pour les rectifications plus complexes, c'est le procureur de la République qui intervient.
En principe, on ne peut donc pas changer de nom de famille, sauf si on invoque un motif légitime. Et dans ce domaine, la définition est assez ouverte. La procédure est réglementée et se déroule en deux étapes distinctes.
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