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  1. Moine copiste

    Métier de nos ancêtres

    Durant de longs siècles, dès la chute de l’Empire romain au 5e siècle, la copie des manuscrits fut l’affaire de centres ecclésiastiques. A une époque où les procédés de reproduction autres que manuelle n’existaient pas encore, l’objectif premier n’était pas véritablement de commercialiser ces copies. Le commerce était, comme toutes les activités d’argent, sévèrement condamné par les moralistes, particulièrement durant les hautes périodes. Il s’agissait plutôt d’assouvir les besoins intellectuels des communautés religieuses. Une activité nécessaire !

  2. Copiste laïc

    Métier de nos ancêtres

    Accompagnant un intérêt croissant des élites pour la littérature, le droit, les ouvrages techniques (chasse, guerre...), elle constituait une « nouvelle culture laïque » composée ou traduite du latin en langue vernaculaire (locale). Il semble que, dès le 12e siècle, des ateliers de fabrication se spécialisèrent en la matière, en Champagne, notamment. Les exemples de manuscrits de ce type réalisés à la fin du Moyen Age pour de riches clients et splendidement enluminés sont multiples.