Rechercher sur ce site

Résultats de la recherche

  1. Les archives Secret Défense sont directement accessibles selon le Conseil d'Etat

    Actualité (Infos & Vidéos)

    La procédure de déclassification des archives Secret Défense est illégale. Tout chercheur peut les consulter au bout d'un délai de 50 ans a réaffirmé le Conseil d'Etat. Cette décision va cependant être court-circuitée par le gouvernement qui est en train de faire voter une nouvelle loi.

  2. Un an ferme contre le voleur des archives départementales du Haut-Rhin

    Actualité (Infos & Vidéos)

    En 2020, un homme repéré par les archivistes du Haut-Rhin en train de subtiliser des documents avait été interpellé. Ce philatéliste et généalogiste de Colmar n'en était pas à son coup d'essai. Il vient d'être condamné à deux ans de prison dont un ferme, pour un préjudice estimé à 141.000 €.

  3. Les affaires criminelles 1811-1940 de Seine-et-Oise en numérisation

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Depuis le 10 octobre 2023, les dossiers de procédure de la Cour d’assises de Versailles de 1811 à 1940 sont en cours de restauration et de numérisation. Ils viendront prochainement enrichir la base numérisée consacrée aux Affaires criminelles et judiciaires de Seine-et-Oise.

  4. Haute-Garonne : les sacs à procès sont en open data

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Ces pièces des procès tenus devant le Parlement de Toulouse aux XVIIe et XVIIIe siècles déjà en ligne sur le portail des Archives sont à présent disponibles en open data sur le portail du département de Haute-Garonne. 14.000 affaires sont librement réutilisables sous forme de jeu de données.

  5. Mémoire des hommes : lire le procès de Kerguelen, découvreur d’îles

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Yves Joseph de Kerguelen-Trémarec est resté dans la mémoire de la France, puisque ce navigateur a laissé son nom aux îles découvertes dans l’océan austral. Mais c’est un autre volet de sa vie que nous donne à lire Mémoire des Hommes…

  6. Baptême : l’Eglise mentionne mais n’efface pas

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Lorsqu'un catholique souhaite renoncer à son baptême et donc devenir apostat, l’Eglise n'est pas obligée d'effacer son nom. Une simple mention marginale est suffisante, selon la jurisprudence constante et une récente décision du Conseil d'Etat concernant une demande faite au diocèse d'Angers.