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  1. Postulez au prix littéraire Floucaud de La Pénardille

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    Depuis 1995, Michel Floucaud de La Pénardille, président d'honneur de la France généalogique CEGF, récompense un ou plusieurs auteurs d'ouvrage d'un prix littéraire, dont la dotation est de 1 500 € pour 2020.

  2. Appel à contributions pour les Rencontres de la généalogie à Nîmes

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    L'Université de Nîmes continue à creuser le sillon de la généalogie en organisant des Rencontres de la Généalogie, les 12 et 13 juin 2020, sur le thème de "La généalogie familiale face aux nouvelles demandes".

    Voici l'argumentaire présenté par l'Université de Nîmes :

  3. Jean Charlo

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    Parmi les braves soldats qui se battirent pour leur patrie, mon arrière-grand-oncle, Jean Charlo, frère de mon arrière-grand-mère, Augustine, né le 4 novembre 1884 à Guéhenno (56).

    Forcé de combattre au côté de son pays, de la France, il dut se résoudre, à laisser, pour quelques temps au départ, ses parents, Jean et Jeanne (Coquentif). Mais bien malheureusement, il ne revient pas ou du moins, pas en vie.

  4. Aurélien Labussière, brancardier

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    Mon grand-père Aurélien Labussière, né en 1886 à Mehun-sur-Yévre (18), s'est signalé par son sang-froid et son dévouement comme brancardier les 29 et 30 mai 1918 en relevant et transportant sous les bombardements répétés plusieurs camarades blessés, au péril de sa vie. Il était très bon cavalier, trompette au 2e régiment de cuirassiers, 2 e escadron.

    Il a obtenu une citation à l'ordre de son régiment, Croix de guerre, étoile de bronze. Revenu de la guerre, il est décédé en 1925 à Paris.

  5. Auguste Cochelin, maintes fois hospitalisé

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    Auguste Cochelin est né à Changé (72) le 4 janvier 1891.

  6. André Raynaud, agriculteur centenaire

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    Mon grand-père André Raynaud est né le 2 mai 1884 à St Saviol, petit village de la Vienne. Il quitta l'école à 11 ans et alla travailler dans les fermes. Incorporé au 20e régiment d'artillerie le 10 octobre 1905 il est envoyé en disponibilité le 28 septembre 1907. Il reprend alors sa vie d'agriculteur et épouse Marie-Louise Thimonnier le 30 septembre 1913. La vie aurait pu s'écouler doucement mais d'autres en avaient décidé autrement. Il repart, comme beaucoup, le 11 août 1914 alors que sa femme attend leur premier enfant qui naîtra quelques jours plus tard (le 23 août).