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  1. Apothicaire (au féminin)

    Métier de nos ancêtres

    Déjà au Moyen Age, les métiers d’apothicaires, de chirurgiens et d’herboristes pouvaient être indifféremment exercés par des hommes ou des femmes, il faut garder à l’esprit que la boutique de l'apothicaire était bien souvent tenue par sa femme.

  2. Pharmacien-apothicaire

    Métier de nos ancêtres

    La distinction entre apothicaires et "épiciers" (marchands d'épices) se fit de plus en plus prégnante. Mais il faut attendre 1777 pour que la corporation des apothicaires soit totalement indépendante et que ses membres prennent le nom de pharmaciens.

  3. Médecin d'épidémie

    Métier de nos ancêtres

    Une gravure représentant le docteur Chicogneau, doyen de l’Université de Montpellier, lors de la peste de Marseille en 1720, nous donne une idée de l’effrayant accoutrement de ces hommes qui côtoyaient quotidiennement la maladie, appelé « habit contre la mort ».

  4. Bonimenteur

    Métier de nos ancêtres

    Bonimenteurs, charlatans et autres empiriques n'étaient ainsi jamais bien loin des apothicaires. A Paris, certains d'entre eux avaient pignon sur rue, comme Gros Thomas. Malgré son travail à l’officine, celui-ci faisait audience plusieurs fois par semaine dans sa roulotte sur le Pont- Neuf.

  5. Marchand d’orviétan

    Métier de nos ancêtres

    Les charlatans portaient aussi le surnom de « marchands d’orviétan », la vente de panacées dont le célèbre orviétan, succédané le plus connu de la thériaque (remède complexe) préparé à Orviéto, en Italie, et qu’on trouvait surtout à Paris.

  6. Les Archives de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris

    Dossier

    Si les archives hospitalières nous renseignent bien sur la façon dont nos ancêtres étaient soignés, elles restent encore peu exploitées en histoire familiale. Paris a la chance de posséder un service spécialement dédié aux archives de ses hôpitaux réunis au sein de l’AP-HP.