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Myriam Provence, la conscience professionnelle
Dossier
En toute discrétion, Myriam Provence remplit depuis 34 ans son carnet de commandes, par le bouche-à-oreille. Reconnue par ses confrères - et ses clients - pour sa rigueur, cette généalogiste familiale est également connue pour avoir œuvré pendant dix ans à l’émergence d’une union professionnelle.
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Refuser l’intervention d’un généalogiste successoral
Dossier
Deux questions se posent à la réception d’une lettre annonçant, l’ouverture d’une succession en votre faveur : l’intervention d’un généalogiste successoral est-elle obligatoire et peut-on refuser de signer le contrat proposé ?
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Christine Lescène, la marraine des novices professionnels
Dossier
On a beau avoir toutes les qualités d’un chercheur, on ne s’invente pas généalogiste professionnel. Fort de ce postulat et de son expérience, Christine Lescène a très tôt investi dans la formation de ses pairs, pour leur donner une assise entrepreneuriale plus solide.
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Les formations universitaires à la généalogie
Dossier
Deux universités proposent des formations à la généalogie validées par un diplôme universitaire (DU) : celles du Mans et de Nîmes. Chacune vise un public varié allant du simple curieux jusqu’au futur professionnel soucieux de s’établir et ouvrir son cabinet. Les inscriptions sont ouvertes.
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Roxanne Simon, généalogiste familiale en toute liberté
Dossier
Étudiante en Histoire à l’université de Nîmes, Roxanne Simon s’est retrouvée avec six mois à tuer entre deux formations. Elle a suivi le DU de généalogie et histoire des familles et est devenu généalogiste professionnelle, ce qui lui permet de rester à la maison et de s’occuper de son fils.
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Benoît Sourd, ex-journaliste devenu généalogiste successoral
Dossier
Il y a un an, Benoît Sourd, 32 ans, était journaliste, adjoint au chef d’édition d’un hebdomadaire de Haute-Savoie. Aujourd’hui, il est généalogiste successoral, salarié d’une entreprise de recherche d’héritiers à Beaune (Côte-d’Or).