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  1. Pétrus Bruyère, cafetier

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    Pétrus Bruyère, mon arrière-grand-père, est né en 1897 à Sainte-Sigolène (Haute-Loire). La classe 17 est incorporée avec un an d’avance, en janvier 1916, afin de reconstituer en hâte les effectifs décimés par les offensives meurtrières de 1915. Après sa période d’instruction au 121e régiment d’Infanterie, Pétrus combat au sein du 105e RI puis, dès le mois d’août 1917, du 1er RI. Le 26 août, il est blessé en Belgique, devant le canal de l’Yser : trois éclats de shrapnell lui perforent le bras droit.

  2. Marcel Payras, jeune engagé volontaire

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    Marcel Payras, né le 2 septembre 1897 à Nîmes, est l'un des 1000 plus jeunes engagés volontaires.

    Il est petit de taille, 1,60m. Ma mère m'a raconté qu'il aurait glissé une petite boîte d'allumette dans ses chaussettes sous ses talons pour réussir l'incorporation. Son père est commandant d'infanterie et impose sa taille de 1,85m. Il sera alors plein de fougue et de courage.

  3. Stanislas Guillodo, douanier

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    Stanislas Pierre Marie Guillodo est né le 30 mars 1885 à Sarzeau. Fils de Stanislas Pierre Marie et de Marie Anne Blancho. D’après le recensement il est journalier.

  4. Joseph Portel, dans l'artillerie coloniale

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    Né à St Pierre, Martinique le 17 novembre 1875, Joseph Portel est issu d’une fratrie métisse de trois garçons. Leur père Marius Portel, né esclave en 1839, sera affranchi de sa servitude en 1845 par son propriétaire Sieur Laporte et deviendra négociant et conseiller municipal à St Pierre (élections 1881).

    En 1897 Joseph, mon grand-père, s’engage dans l’Artillerie de Marine à Fort de France, suivant l’exemple de son demi-frère, Auguste Portel.

  5. Sylvain Herrou

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    Sylvain Herrou, notre grand-père paternel, est né le 28 janvier 1881 à Vic-en-Bigorre (65). Mobilisé le 5 septembre 1914 au 12e régiment d’infanterie, 10e compagnie de Tarbes (65), il est blessé à la cuisse droite et à la main droite lors de bombardements de tranchées en construction le 20 septembre 1915, dans le secteur de Concevreux (02), au sud de Pontavert (02). Il est évacué sur l’hôpital de campagne à Meurival, où il décède des suites de ses blessures, le 21 septembre 1915. Il est initialement enterré à Meurival (02).

  6. Camille Heraud, conducteur de chevaux

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    Il s’appelait Camille Henri Léon Heraud. Né de père inconnu à Cognac (Charente), le 2 février 1895, il fit la bataille de Verdun en 1916, où, sous un déluge d’obus, il se distingua par son courage et sa vaillance. Il conduisit des attelages de chevaux contenant des obus sur le front. À la fin de la guerre, il rentra chez lui, décoré pour sa bravoure. Il reçut la Croix de guerre. Sur son livret, dans les actions d’éclats, on peut lire : « Bon conducteur sur le front, depuis le début de la campagne. A fait preuve de courage dans des circonstances périlleuses ».