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  1. Héritier débouté mais honoraires réduits au menu de la généalogie successorale

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    Dans l'affaire de l'héritage Sipp que nous avions évoquée en mai 2014, l'héritier qui avait souhaité porter son dossier devant la Cour de Cassation vient d'être débouté par celle-ci le 1er avril 2015.

  2. Enigme de l'été : où sont décédées les trois cousines ?

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    Profitez de l'été (et peut-être des vacances) pour résoudre l'énigme que vous soumet Jean-Louis Beaucarnot :

  3. Les Filles de la Révolution Américaine n'acceptent pas l'ADN généalogique

    Actualité (Infos & Vidéos)

    L'Amérique est la terre de tous les contrastes. D'un côté, tous les tests ADN sont autorisés : ceux pour établir votre généalogie, comme ceux destinés à connaître votre prédisposition aux maladies ou encore pour prouver que vous êtes bien le fils de votre père. Mais une généalogiste a eu la drôle de surprise de se voir refuser l'admission à la célèbre association des Filles de la Révolution américaine, nous raconte le Washington Post. Le motif ?

  4. Tout savoir sur la population française, avec l'Insee

    Actualité (Infos & Vidéos)

    L'Institut national de la statistique et des études économiques avait publié en décembre les principaux résultats du recensement millésimé 2008, établi à partir d’enquêtes effectuées de 2006 à 2010.

  5. Nom de famille : bientôt la fin du double tiret

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Désormais, l'enfant de M. Martin-Durand et de Mme Lefèvre-Dupont ne devrait plus s'appeler :

    Martin-Durand -- Lefèvre-Dupond,

    mais "simplement" :

    Martin-Durand Lefèvre-Dupond.

    Notez bien l'espace séparant les deux noms composés, il met fin à une polémique née après l'entrée en vigueur de la loi du 4 mars 2002 relative au nom de famille. Celle-ci donnait (et continuera à donner) la possibilité au père et la mère d'un enfant à transmettre chacun leur nom, dans l'ordre de leur choix.

  6. Tant que je vivrai, pour entretenir la mémoire des camps

    Actualité (Infos & Vidéos)

    Revenue en 1945 des camps de concentration où elle a perdu toute sa famille, Frania Eisenbach, polonaise d’origine, s’installe en France et mène une vie normale jusqu’en 2005, lorsque le "devoir de mémoire" s’impose à elle. A l’occasion du 60e anniversaire de la libération des camps, son témoignage a été recueilli, avec d’autres, par la Mairie de Paris et le Mémorial de la Shoah et elle donne des conférences dans les lycées.