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Georges Jourdan et ses frères
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Mon grand-oncle, Georges Joseph Emmanuel Jourdan est né en 1886 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Lui et ses trois frères participèrent à la guerre.
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Pétrus Bertholon
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Mon grand-oncle Pétrus Barthélémy Bertholon est né le 17 octobre 1896 à Longessaigne (Rhône)
Il a participé à la bataille de la Somme. Il appartenait au 60e régiment d’artillerie, dans la 158e batterie en tant que canonnier. Il est mort pour la France à Rouvroy-en-Santerre (Somme) le 28 juillet 1916 au « boyau-Calais ».
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Jacques Escande, lieutenant
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Né à Paris le 20 juillet 1880, Jacques Front Escande est le plus jeune fils de Paul Escande et de Lucie Clairin. Il a quatre frères : Paul (1868) Henri (1872) Pierre (1874) Louis (1875).
Jacques commence ses études à Paris puis les poursuit au lycée de Maubeuge, où son père est directeur des Ateliers de Construction de Haumont. Il s'engage en 1898 dans l'Infanterie à Saint-Étienne et rentre à l’école des Officiers d'active à Saint-Maixent. Il en sort sous-lieutenant puis est lieutenant en 1909 au 18e RI.
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Marcel Hidier, employé de banque
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Mon grand-oncle, Marcel Hidier, voit le jour le lundi 11 septembre 1893 à Pouilly en Auxois (21). Il est le fils légitime de Désiré Hidier, photograveur au journal Le Temps âgé de 39 ans et de Gabrielle Mercey, Domestique, âgée de 31 ans. A sa naissance, il a pour frères et sœurs : Henri (né en 1889) mon grand-père et Eugénie (née en 1891).
De la classe 1913, il est incorporé au 167e régiment d'infanterie à compter du 27 novembre 1913 en tant que soldat de deuxième classe. Au moment de la guerre, il est employé de banque.
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Maximilien Sambet, caporal clairon
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Mon grand père maternel Maximilien Sambet, né le 14 octobre 1887 Vénissieux (69), est incorporé le 6 octobre 1908 (classe 1907), puis rappelé à l’activité par suite de la mobilisation générale. Il arrive le 4 août 1914 au 99e régiment d’infanterie. Passé au 8e régiment du génie, compagnie télégraphiste, alors caporal clairon, il est gazé puis évacué le 8 août 1918 à Buery (Marne). Il obtiendra une invalidité mais gardera une bronchite chronique et un emphysème pulmonaire jusqu’à la fin de sa vie le 19 janvier 1956 à Vénissieux.
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Marius Bouat, père de trois enfants
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Marius Bouat, malgré son âge, 39 ans, et 3 enfants, fut incorporé dès le 3 août 1914 à Nîmes au 117e régiment territorial. Dès octobre 1914 il monte en première ligne dans la région de Verdun.
Une seule permission, 14 mois plus tard, en octobre 1915, et le 27 janvier il trouve la mort à Mouilly (55) à l'entrée de sa tranchée, fauché par un obus de 105.