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  1. Les frères Georges et Antonin Labouré

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    Je voudrais rendre hommage à trois membres de ma famille ayant participé à la Grande Guerre.

    Mon grand-père paternel Pierre Georges (photo) né le 25 avril 1874 à Saint-Thurin (Loire). Blessé le 8 avril 1917 à Vauxillon. Il était à cette date père de cinq enfants. Il a reçu la Croix de guerre avec étoile d'argent. Il faisait partie du 157e régiment d'infanterie de la 155e compagnie de mitrailleuse de position. Il est décédé le 4 décembre 1943 à Saint-Thurin.

  2. André Foulatier, médecin

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    Mon grand-père, André Jean-Baptiste Foulatier, né à la Châtre le 19 février 1882, s'est engagé volontaire pour trois ans en 1902. Étudiant en médecine, à Lille, lors de la catastrophe de Courrières en 1906, il avait été parmi les premiers à descendre dans le puits de la mine pour retirer 1000 morts... Il en avait gardé un souvenir terrible. Nommé médecin-aide-major de réserve en 1910, il s'installa à Saint-Amand-Montrond (Cher). Mais le 3 août 1914 il fut rappelé à l'activité.

  3. Pierre Berrodier, courage et sang-froid

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    Pierre Marie Victor Berrodier, mon grand-père, naît le 26 avril 1896 à Saint-Trivier-de-Courtes (Ain).

    Le 9 avril 1915, il est incorporé au 7e Bataillon du Génie à Besançon ; sa campagne contre l'Allemagne va durer quatre années.

    Le 24 octobre 1916, au sein de la Compagnie 19/2, plus précisément du 4e Régiment de marche de Zouaves, il participe à la reprise du fort de Douaumont ; cette offensive représente une première et grande victoire de l'armée de Verdun ; lors de l'assaut final il est blessé par balle.

  4. Eugène Jouannade

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    Le 8 mai 1917, mon grand oncle Eugène Jouannade, né à Mardore dans le Rhône le 7 octobre 1897, écrivait son ultime lettre à sa famille.

    Affecté au 2e régiment d’infanterie, 2e compagnie de mitrailleurs, il était exposé au feu incessant des obus « qui faisaient marcher et baisser le nez ». Il espérait aller vers un secteur plus calme le soir même puis bénéficier d’une permission. La lettre se termine par un PS : « Nous restons »….

  5. Georges Cotton, prisonnier à Erlangen (Allemagne)

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    Mon grand-père, Georges Cotton, est né le 20 juin 1892 à Houlbec Cocherel (Eure). Il travaillait à la ferme avec ses parents.

    En 1912, il a 20 ans, il part faire son service militaire à Montmédy. Malheureusement la guerre éclate le 2 août 1914, il est maintenu sous les drapeaux à Montmédy.

    En août 1914, la garnison de Montmédy offrit une résistance héroïque aux troupes ennemies. Le 27 août, le Général Joffre ordonna d’évacuer la forteresse. C’est une colonne de 2300 hommes qui quitta Montmédy pour se diriger vers Verdun.

  6. Henri Rabusseau, réformé pour "idiotie"

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    Henri Louis Rabusseau né en le 8 décembre 1885 à Parcay-sur-Vienne dans une famille de paysans de Touraine n'a pas effectué son service militaire car réformé en 1906 pour « idiotie ». La guerre arrive et l'armée le trouve néanmoins bon pour l'envoyer au front. Il est incorporé au 409e régiment d'infanterie. Nous n'avons retrouvé aucun document familial le concernant hormis sa fiche matricule. Celui qui a été réformé est cité deux fois à l'ordre du régiment : « Brave soldat.