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  1. Avagnina

    Nom de famille

    Ce matronyme (nom transmis par la mère) fait partie de ces noms dont l’origine fleure bon la péninsule italienne : un hameau, une ferme de première importance, un château fort, un lieu-dit caractérisé par un bois dense ou un bouquet d’arbres, une clairière oubliée, un marais mystérieux ou bien encore le bord d’une rivière paisible. Pour différencier les hommes qui n’avaient jusqu’au XIVe siècle qu’un nom de baptême, on a surnommé le noble comme le roturier, le chevalier comme le simple paysan du nom de sa terre d’origine.

  2. Avril

    Nom de famille

    Le nom de baptême donné à un enfant né (ou trouvé) pendant le mois d’avril ou plus généralement au printemps, fut sans doute à l’origine de ce nom de famille. Comment ce nom de baptême est-il devenu héréditaire ? Entre le Ve et le Xe siècle chacun des habitants de notre pays ne portait que son nom de baptême. À partir du XIIIe siècle, pour différencier les individus. Enfin, ce n’est qu’à partir du XVe siècle au hasard de la transcription sur un acte de baptême, de mariage ou de sépulture qu’il est devenu héréditaire, se transformant en nom de famille.

  3. Azemar

    Nom de famille

    Les imprécisions qui règnent sur les patronymes issus de vieux surnoms germaniques laissent toujours planer une large part de mystère sur leur véritable origine. Cette énigme nous fait remonter quinze siècles en arrière. Souvenons-nous de la chute de l’Empire Romain, au milieu du Premier millénaire. À cette époque, les chefs de guerre germaniques portaient des noms particuliers. Par exemple, Adamar (composé des racines adal, « noble » et de mar, « célèbre »).

  4. Baby

    Nom de famille

    Ce nom de famille est issu d’un nom de baptême. Son étymologie nous fait remonter le temps. Tout d’abord, l’étymologie de ce nom nous ramènent vers les temps les plus lointains, en particulier ceux de la Bible avec sa signification symbolique. À la fin de l’Empire romain, la christianisation a remplacé les noms Romains anciens par ce genre de nom de baptême. La fréquence de ce nom de baptême s’explique aussi bien par le prestige du saint femme Isabelle que par sa position hiérarchique. C’est notamment le cas des noms portés par les souveraines au niveau européen.

  5. Bachellerie

    Nom de famille

    Nous sommes en présence de l’ancien surnom de l’homme qui habitait ou qui possédait une «bacchelerie», un bien rural modeste qui n’était pas assujetti aux corvées comme ceux des autres paysans. On dénombre une centaine de lieux-dits « Bachellerie » en France, dans le sens de domaine d’un « bachelier » (Corrèze, Creuse, Haute-Vienne, Charente, etc.). Explications : le bachelier était un « homme jeune en devenir », du vieux français bachelier, issu du latin baccalaris « jeune homme ».

  6. Bacon

    Nom de famille

    Comment ce nom de famille est-il né ? Entre le Ve et le XIIIe siècle chacun des habitants de notre pays portait un nom unique, son nom de baptême. À partir du XIIIe siècle, pour différencier les homonymes devenus trop nombreux, on a pu surnommer « Bacon », un « baconnier », un marchand de lard, nom issu du germanique bakk, « jambon » et passé à l’anglais dans le sens de « lard fumé ». C’est à partir du XVe siècle, au hasard d’une transcription sur un acte de baptême, de mariage ou de sépulture que ce surnom de métier s’est transformé en nom de famille héréditaire.