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  1. Martinez

    Nom de famille

    Forme ibérique du nom de baptême popularisé par le culte de saint Martin (en latin martius, « guerrier », « martial », « belliqueux »... comme le dieu Mars), devenue nom de famille à partir du XIIIe siècle. Saint Martin, évêque de Tours (IVe siècle) : il partage son manteau militaire avec un pauvre mendiant. Devenu chrétien, Martin consacre sa vie à Dieu, tout en gardant un idéal monastique. Aucun saint ne fut plus populaire à son époque. Fêté le 11 novembre, il est aujourd’hui bien oublié en France en raison de la célébration de l’armistice de la Première Guerre mondiale.

  2. Mathieu

    Nom de famille

    Le nom de baptême popularisé par le culte de saint Matthieu (MatYah en hébreu, Matthaeus en latin : « Homme de Dieu » ou « Don de Dieu » ou encore « Fidèle à Dieu »), explique l’origine de ce nom de famille devenu héréditaire à partir de la fin du XIIIe siècle. Saint Matthieu (1er siècle) : de son premier nom Lévi, il exerçait le métier de péager au service du roi Hérode. Il était assis à son bureau à Capharnaüm quand Jésus lui dit : « Suis moi ! ». Ainsi fut fait, et le jeune homme devint Matthieu, futur auteur du Premier Evangile.

  3. Maulin

    Nom de famille

    Ce patronyme fait partie de ces noms dont l’origine fleure bon la Doulce France : un hameau, une ferme de première importance, un château fort, un lieu-dit caractérisé par un bois dense ou un bouquet d’arbres, une clairière oubliée, un marais mystérieux ou bien encore la rive d’un paisible cours d’eau. Remontons le temps : pour différencier les hommes qui n’avaient jusqu’au XIIIe siècle qu’un nom de baptême, on a souvent surnommé le noble comme le roturier, le chevalier comme le simple paysan du nom de sa terre d’origine.

  4. Mavel

    Nom de famille

    Le patronyme Mavel fait partie de ces noms dont l’origine fleure bon la Doulce France : un hameau, une ferme de première importance, un château fort, un lieu-dit caractérisé par un bois dense ou un bouquet d’arbres, une clairière bien cachée, un marais mystérieux ou bien encore le bord d’une rivière paisible. Pour différencier les hommes qui n’avaient jusqu’au XIIIe siècle qu’un nom de baptême on a surnommé le noble comme le roturier, le chevalier comme le simple paysan du nom de sa terre d’origine.

  5. Mayer

    Nom de famille

    Ce nom de famille pourrait remonter au début du XIVe siècle : en 1313, on relève plus de trois cent cinquante professions différentes dans le précieux « Livre des Mestiers » dressé sur ordre d’Étienne Boileau, prévôt du Roy. Il nous fait connaître le détail du travail de cette foule d’artisans et de commerçants qui peuplait campagnes, bourgs et cités. Même logique des deux côtés du Rhin : comment le nom de famille Mayer est-il né ? Entre le Ve et le XIIIe siècle chacun des Européens portait un nom unique, son nom de baptême.

  6. Mazeas

    Nom de famille

    Nous sommes en présence d’une forme bretonne du nom de baptême popularisé par le culte de saint Matthieu (Mat-Yah en hébreu, Matthaeus en latin : « Homme de Dieu » ou « Don de Dieu » ou encore « Fidèle à Dieu »), devenue héréditaire à partir de la fin du XIIIe siècle. Fréquence et localisation : le patronyme Mazeas compte 290 foyers en France de nos jours. Il se montrait déjà bien présent dans le Finistère à la fin du XIXe siècle, département auquel il faut ajouter l’Ille-et-Vilaine et la région Ile-de-France dans son ensemble à la fin du XXe siècle.