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  1. Balland

    Nom de famille

    L’ancien surnom donné à un danseur, à un musicien, à celui qui accompagnait les spectacles, explique l’origine de ce nom de famille. Du vieux français baller, issu du bas-latin ballare, « danser » (cf.notre moderne bal, « réunion dansante »). Nous trouvons la première trace de cette activité en 1292 dans le « Livre des Mestiers » d’Etienne Boileau. Le premier bal qui mérite ce nom à la cour de France remonte à 1385, à l’occasion du mariage de Charles VI avec Isabeau de Bavière. Au XVIe siècle, les maîtres de ballets portaient le titre de « baladins ».

  2. Ballotaud

    Nom de famille

    Les incertitudes étymologiques et historiques qui règnent sur les patronymes issus de vieux surnoms germaniques laissent toujours planer une large part de mystère sur leur véritable origine. Cette énigme est d’autant plus grande que nous sommes en présence de dénominations qui nous font remonter quinze siècles en arrière. Souvenons-nous de la chute de l’Empire Romain, au milieu du Premier millénaire. À cette époque, chaque chef de guerre germanique portait un surnom spécifique, dans le cas qui nous intéresse, Balo, de la racine balo, « (homme) préoccupé, tourmenté ».

  3. Baloche

    Nom de famille

    L’origine de ce nom de famille s’explique par le surnom donné à un de ses premiers porteurs. Au XIIIe siècle, au temps où les architectes et les compagnons construisent nos cathédrales et où les campagnes se peuplent dans toute l’Europe le besoin se fait sentir de différencier les individus, qui n’ont jusqu’à cette époque que leur nom de baptême pour se distinguer les uns des autres. Le surnom qualificatif apparaît à ce moment, il fait référence à une particularité du premier « Baloche », « celui qui se déplaçait avec du balant », un danseur.

  4. Banquier

    Nom de famille

    À partir du XIIIe siècle, les grandes foires commerciales italiennes, françaises et flamandes, favorisées par les seigneurs et rois, attiraient des marchands venus de toute l’Europe. On y trouvait les riches étoffes des Flandres et des épices du lointain Orient. Une fois les transactions réalisées, les différentes pièces d’or et d’argent étaient échangées grâce à des commerçants d’un genre particulier, les « banquiers » qui prenaient une commission au passage.

  5. Barbaud

    Nom de famille

    Forme probable de l’ancien nom de baptême popularisé par sainte Barbe (en latin Barbara, «l’étrangère»). Les Romains appelèrent «barbares» («étrangers») tous ceux qui ne parlaient pas leur langue. Sainte Barbe, vierge des premiers siècles s’illustra par la fermeté de sa foi. D’après la tradition chrétienne, son père, rendu furieux par cet engagement lui trancha la tête… mais fut réduit en cendres dans l’instant par la foudre ! Le culte de sainte Barbe devint populaire dès le Xe siècle dans le Nord et l’Est de la France et en Belgique.

  6. Barbe

    Nom de famille

    L’ancien nom de baptême popularisé par sainte Barbe (en latin Barbara, «l’étrangère»), explique l’origine de ce patronyme. Dans l’Antiquité, les Grecs, puis les Romains appelèrent «barbares» («étrangers») les peuples qui ne parlaient pas leur langue. Sainte Barbe, vierge des premiers siècles s’illustra par la fermeté de sa foi. D’après la tradition, son père rendu furieux par cet engagement lui trancha la tête et fut réduit en cendres l’instant d’après par la foudre.