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  1. Boruta

    Nom de famille

    Dans le cas d’une origine polonaise, commençons par souligner les incertitudes étymologiques et historiques qui règnent sur les patronymes issus de vieux noms slaves. Elles laissent toujours planer une large part de mystère sur leur véritable origine. Cette énigme est d’autant plus grande que nous sommes en présence de dénominations qui nous font remonter sept ou huit siècles en arrière. À cette époque, chaque chef de guerre portait un surnom spécifique. Dans ce cas, Bor qui pourrait se traduire par « combat », « défi » et se retrouve dans le prénom russe Boris.

  2. Bossennec

    Nom de famille

    Ce patronyme fait partie de ces noms dont l’origine fleure bon la Doulce France et plus particulièrement le terroir breton : un hameau, une ferme de première importance, un château fort, un lieu-dit caractérisé par un bois dense ou un bouquet d’arbres, une clairière oubliée, un marais mystérieux ou bien encore le bord d’une rivière paisible. Pour différencier les hommes qui n’avaient jusqu’au XIIIe siècle qu’un nom de baptême, on a surnommé le noble comme le roturier, le chevalier comme le simple paysan du nom de sa terre d’origine.

  3. Bossuet

    Nom de famille

    Votre patronyme fait partie de ces noms dont l’origine fleure bon la Doulce France. Pour différencier les hommes qui n’avaient jusqu’au XIIIe siècle qu’un nom de baptême, on a surnommé le noble comme le roturier, le chevalier comme le simple paysan du nom de sa terre d’origine. C’est ainsi que le Moyen Âge a vu se développer le surnom de « Bossuet » par référence à des noms de lieux-dits d’origine situés en Gironde, en Charente, dans les Deux-Sèvres et en Ile-de-France… ils sont à prendre dans le sens de « bosse » pour désigner une colline, une hauteur.

  4. Bottineau

    Nom de famille

    L’origine de ce nom de famille pourrait remonter au début du XIVe siècle : en 1313, on relève plus de trois cent cinquante professions différentes dans le précieux « Livre des Mestiers » dressé sur ordre d’Étienne Boileau, prévôt du Roy. Il nous fait connaître de nombreux détails sur le travail de la foule d’artisans et de commerçants qui peuplait campagnes, bourgs et cités. Comment le nom de famille Bottineau est-il né ? Entre le Ve et le XIIIe siècle chacun des habitants de notre pays portait un nom unique, son nom de baptême.

  5. Bouchard

    Nom de famille

    Les incertitudes étymologiques et historiques qui règnent sur les patronymes issus de vieux surnoms germaniques laissent toujours planer une large part de mystère sur leur véritable origine. Cette énigme est d’autant plus grande que nous sommes en présence de dénominations qui nous font remonter quinze siècles en arrière. Souvenons-nous de la chute de l’Empire Romain, au milieu du Premier millénaire. À cette époque, chaque chef de guerre germanique portait un surnom spécifique. Dans le cas qui nous intéresse Bucc-hard (composé des racines buche, « hêtre » et hard, « dur », « fort »).

  6. Bouchereau

    Nom de famille

    Forme diminutive de « Boucher », ancien surnom de l’homme qui vendait de la viande de bouc, puis de la viande en général. Ce surnom s’est généralement appliqué à tous ceux qui tuaient les animaux, les découpaient et vendaient leur viande, comme dans : « les bouchiers vendoient du boeuf et du mouton… » (XVIe siècle) La corporation des bouchers se vantait d’être une des plus anciennes de France. Ses statuts étaient enregistrés au XIIe siècle sous Philippe-Auguste.