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Les formations universitaires à la généalogie
Dossier
Deux universités proposent des formations à la généalogie validées par un diplôme universitaire (DU) : celles du Mans et de Nîmes. Chacune vise un public varié allant du simple curieux jusqu’au futur professionnel soucieux de s’établir et ouvrir son cabinet. Les inscriptions sont ouvertes. Sur le terrain Gard (30) Sarthe (72) Formation Diplôme Universitaire Généalogiste professionnel Avec plus de dix ans d’expérience, l’université de Nîmes fait figure de pionnière dans l’enseignement et le développement de programmes d’études en généalogie. Remportant un beau succès, la fac a multiplié ses offres en quelques années. « Nous avons commencé avec une première formation en généalogie en 2010, raconte Isabelle Ortéga, la responsable pédagogique du pôle de Généalogie de la filière Histoire de l’université de Nîmes. En 2023, nous en sommes à trois diplômes différents répartis sur cinq ...
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Roxanne Simon, généalogiste familiale en toute liberté
Dossier
Étudiante en Histoire à l’université de Nîmes, Roxanne Simon s’est retrouvée avec six mois à tuer entre deux formations. Elle a suivi le DU de généalogie et histoire des familles et est devenu généalogiste professionnelle, ce qui lui permet de rester à la maison et de s’occuper de son fils. Portraits Gard (30) Généalogiste professionnel Formation Diplôme Universitaire Étudiante en Histoire à l’université de Nîmes, Roxanne Simon s’est retrouvée avec six mois à tuer entre deux formations. « Un peu par hasard et parce que je faisais des recherches à titre personnel, j’ai relevé ce défi de me former à la généalogie, juste pour me caser. Ça tombait bien, le DU commençait à ce moment-là, pile pour boucher ...
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Benoît Sourd, ex-journaliste devenu généalogiste successoral
Dossier
... Aujourd’hui, il est généalogiste successoral, salarié d’une entreprise de recherche d’héritiers à Beaune (Côte-d’Or). Portraits Côte-d'Or (21) Haute-Savoie (74) Suisse Généalogiste professionnel Généalogie successorale Formation Diplôme Universitaire Il y a un an, Benoît Sourd, 32 ans, était journaliste, adjoint au chef d’édition d’un hebdomadaire de Haute-Savoie. Aujourd’hui, il est généalogiste successoral, salarié d’une entreprise de ... mon parcours. J’ai découvert la généalogie successorale avec des émissions à la télévision. J’ai trouvé que cela aurait du sens, le fait de travailler sur des sources historiques ferait le trait d’union entre le journalisme et ma formation en histoire. » Se renseignant sur le métier, il pousse des portes, fait la rencontre de plusieurs généalogistes successoraux, dont un en Suisse qui lui présente son métier et le convainc. « Par hasard, j’ai lu dans la RFG un article sur les formations à la généalogie, notamment celle du Mans. J’ai candidaté, j’ai été pris pour une session à distance qui a démarré fin 2021 et s’est terminée en juin 2022. Cela m’a beaucoup plus. » Au moment de chercher un stage, ...