L’art du cirier consistait à débiter et à façonner la cire à partir de pains fournis par l’apiculteur. Les ciriers partageaient avec les épiciers et les apothicaires la vente de la cire et la fabrication de simples chandelles ou de bougies que ce soit à usage liturgique ou domestique.
La frappe des monnaies faisait l’objet d’un contrôle permanent et des personnes de confiance, comme dans : « Lesquels Arragon et Rous ont fait ouverture en notre présence d’un coffre dont ils ont chacun une clef…»
Dans le processus de fabrication des monnaies, le contre-garde assistait le garde ou juge-garde à qui qu’incombait à la fois la responsabilité des métaux confiés et des pièces qui venaient d’être fabriquées.