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Apothicaire
Métier de nos ancêtres
Les médecins prescrivaient de multiples saignées, purges et lavements pour chasser les « mauvaises humeurs » du corps. Ces actes étaient le plus souvent réalisés par les pharmaciens ou apothicaires, "issus de l’épicerie", qui n’avaient pas leur pareil pour administrer les clystères.
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Charlatan
Métier de nos ancêtres
Charlatans et autres empiriques ou bonimenteurs n'étaient jamais bien loin des apothicaires. A Paris, certains charlatans avaient pignon sur rue, comme le Gros Thomas : malgré son travail à l’officine, ce dernier faisait audience plusieurs fois par semaine dans sa roulotte sur le Pont-Neuf.
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Empirique
Métier de nos ancêtres
Empiriques, charlatans ou bonimenteurs n'étaient ainsi jamais bien loin des apothicaires. Certains d'entre eux avaient pignon sur rue, comme l’empirique Gros Thomas : malgré son travail à l’officine, celui-ci faisait audience plusieurs fois par semaine dans sa roulotte sur le Pont- Neuf.
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Sage-femme
Métier de nos ancêtres
Les sages-femmes ("femmes qui savent") se chargeaient d'assister les accouchements et de baptiser l’enfant, parfois dans l’urgence, s’il n’était pas viable. Dans certaines circonstances particulières, elles se portaient garante de femmes mortes en couches pour qu'elles aient une inhumation décente.
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Apothicaire (au féminin)
Métier de nos ancêtres
Déjà au Moyen Age, les métiers d’apothicaires, de chirurgiens et d’herboristes pouvaient être indifféremment exercés par des hommes ou des femmes, il faut garder à l’esprit que la boutique de l'apothicaire était bien souvent tenue par sa femme.
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Pharmacien-apothicaire
Métier de nos ancêtres
La distinction entre apothicaires et "épiciers" (marchands d'épices) se fit de plus en plus prégnante. Mais il faut attendre 1777 pour que la corporation des apothicaires soit totalement indépendante et que ses membres prennent le nom de pharmaciens.