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Banquier
Métier de nos ancêtres
En 1295, Philippe Le Bel décida de confier ses deniers à deux « banquiers » florentins : Albizzi Francesi et Musciatto. Les banquiers italiens, dont Laurent de Médicis, furent les bailleurs de fonds attitrés des Rois de France jusqu’à la fin du 16e siècle.
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Faux-monnayeur
Métier de nos ancêtres
Jusqu'à la Renaissance, l’irrégularité de la frappe au marteau exposa la monnaie officielle à des contrefaçons frauduleuses, car tout habile artisan pouvait alors s’improviser faussaire sans trop de difficultés.
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Billonneur
Métier de nos ancêtres
Le faux-monnayage était aussi appelé « billonnage ». Il doit son nom aux pratiques peu avouables des billonneurs, ces fabricants de monnaies de billon. Ces monnaies portaient le nom de l’alliage (billon) à base de cuivre avec très peu d’argent.
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Colporteur-écouleur de fausse monnaie
Métier de nos ancêtres
Certains faussaires comptaient sur les colporteurs, ces bonimenteurs de foires, pour « exposer la fausse monnaie ».
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Grossiste en fausse-monnaie
Métier de nos ancêtres
Souvent de véritables notables, les grossistes en fausse-monnaie avaient pignon sur rue. La position enviable de tels hommes donnait toute confiance aux futurs créanciers qui ne soupçonnaient pas la moindre arnaque.
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Rentier
Métier de nos ancêtres
Le rentier, archétype du bourgeois retiré des affaires qui vivait de ses rentes, des revenus de son capital fut souvent vilipendé au XIXe siècle, nous le retrouvons dépeint « au vitriol » par Honoré de Balzac dans « Français peints par eux-mêmes », édité en neuf volumes de 1840 à 1842.