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Francis Chassagnac élu président de la Fédération française de généalogie

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Francis Chassagnac, président de la Fédération girondine de Généalogie et du Haillan Généalogie Histoire, une des 21 associations membres de cette union.
Crédits
Charles Hervis

C’est le nom de Francis Chassagnac qui est sorti des urnes ce samedi 3 février 2024 pour être élu nouveau président de la Fédération française de généalogie, après la démission fracassante de Valérie Gautier, accompagnée en bloc par le bureau de "l’association des associations de généalogie". Francis Chassagnac, 82 ans est loin d’être un inconnu des généalogistes. Il préside de longue date deux institutions du Sud-Ouest : la Fédération girondine de généalogie et l’association Le Haillan Généalogie Histoire, qui est l’une des 21 associations membres de cette union. 

Pour gouverner la Fédération française de généalogie, un nouveau bureau a été élu avec :

En outre, le nouveau bureau a nommé quatre chargés de mission :

Le nouveau visage de la Fédération française de généalogie sort donc sans grande surprise des urnes, composé de personnalités déjà connues du monde des chercheurs d’ancêtres. Une équipe bien décidée à tourner la page d’une crise après laquelle de nombreux défis seront à relever, notamment financiers. 

Mots-clés
FFG, Association

Commentaires

1 commentaire
  • Portrait de Société généalogique de l'Yonne

    La nouvelle équipe dirigeante de la Fédération française de généalogie, au vu de la circulaire qu'elle a envoyée à tous les cercles fédérés, semble se contenter de mettre en place une gouvernance de petits comptables. Aucun projet de colloques, de congrès, de rencontres scientifiques à l'échelle nationale et internationale ne figure pour le moment au programme de 2024. La semaine de la généalogie prévue à l'automne de 2024 par l'ancienne équipe dirigeante fédérale est passée sous silence. Aura-t-elle lieu ? Le but des associations et des fédérations qui les regroupent n'est pas de thésauriser mais d'investir. Pour le moment, aucun investissement n'est prévu pour rassembler les cercles fédérés. Depuis la disparition de Bigenet et de Clericus, qui ont cessé leurs activités à cause d'une politique menée à leur encontre par un ancien président breton de la Fédération française de généalogie au profit de Geneabank, la généalogie associative ne dispose plus d'une base de données nationale placée sous la tutelle de la Fédération, ceci au profit financier de ladite Fédération et des cercles fédérés. Il convient de vendre au plus vite les locaux désertés et inutiles de la Fédération dans la tour Essor à Pantin, pour investir enfin dans la création d'une véritable vitrine fédérale en ligne où les internautes du monde entier pourraient consulter enfin un index national de tous les actes de naissance, mariage et décès, et autres, dont disposent les cercles fédérés sur leurs propres sites. Ensemble, les cercles fédérés possèdent plus de données non récurrentes que les grosses entreprises commerciales, mais il appartient à la Fédération française de généalogie de le faire savoir par un outil collectif approprié. Espérons que les petits comptables qui ont poussé l'ancienne présidente fédérale à la démission sauront vite proposer des projets d'envergure dignes de sociétés savantes ! En tout cas, l'ancienne présidente fédérale n'est pas responsable de la disparition de Bigenet et des revenus que ce partenaire versait à la Fédération et aux cercles fédérés. Elle n'est pas responsable non plus de l'explosion des frais occasionnés par le local, tout à fait inutile et improductif, que la Fédération possède dans la Tour Essor à Pantin, où plusieurs gros copropriétaires ne paient plus leurs charges depuis longtemps. Les frais de représentation en France et à l'étranger que d'aucuns reprochent à l'ancienne présidente fédérale ne sont qu'une goutte d'eau dans l'énorme déficit qu'on lui impute entièrement, et ne sont en fait que des frais tout à fait normaux pour une présidence fédérale ayant à cœur de répondre aux multiples invitations des cercles fédérés en province. Le nouveau président mis en place pour résorber un déficit structurel, dû à de mauvais choix par d'anciennes équipes dirigeantes, refusera-t-il d'honorer des invitations en dehors de Pantin ? Les frais de déplacement auprès des cercles fédérés ne sont pas improductifs : ce sont sont des investissements.

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