Le « chambrelan », ouvrier porcelainier exécutait son ouvrage en chambre, à son domicile (d’où son nom). Il procédait de travaux de peinture, de modelage, de fabrication d’émaux et de barbotine. En 1848, il y avait 1400 chambrelans dont 800 femmes, sans compter les enfants de moins de 16 ans.
A l’origine, les changeurs devaient récupérer les monnaies anciennes ou celles dont le cours n’était plus permis et donner à ceux qui les leur apportaient une valeur décrétée en espèces courantes. Mais les changeurs ne se contentaient pas de changer les espèces monnayées…
Charlatans et autres empiriques ou bonimenteurs n'étaient jamais bien loin des apothicaires. A Paris, certains charlatans avaient pignon sur rue, comme le Gros Thomas : malgré son travail à l’officine, ce dernier faisait audience plusieurs fois par semaine dans sa roulotte sur le Pont-Neuf.
L’art du cirier consistait à débiter et à façonner la cire à partir de pains fournis par l’apiculteur. Les ciriers partageaient avec les épiciers et les apothicaires la vente de la cire et la fabrication de simples chandelles ou de bougies que ce soit à usage liturgique ou domestique.