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Dès le XVIe siècle, le métier d’épicier ne va cesser d’évoluer se scindant notamment en deux groupes distincts : les épiciers-droguistes et les épiciers grossiers (comprenez "en gros"). Comme leur nom l’indique, les épiciers grossiers se chargeaient de la vente en gros de produits alimentaires.
La mention de « maître fayancier» fut attribuée pour la première fois à Pierre IerClérissy (1651-1728) de Moustiers.Comme la verrerie, les métiers de la faïence présentaient la particularité d’être une des seules activités marchandes à pouvoir être exercée par les nobles sans risque de déchéance.
Jusqu'à la Renaissance, l’irrégularité de la frappe au marteau exposa la monnaie officielle à des contrefaçons frauduleuses, car tout habile artisan pouvait alors s’improviser faussaire sans trop de difficultés.
Le fondeur de cloches était couramment appelés «saintier», « fondeur de métal » ou même « fondeur de métail », terme qui désignait autrefois le bronze. Il était artisan itinérant, s’en allant d’abbaye en cathédrale, à la recherche de cloches brisées à refondre et de nouveaux clochers à pourvoir.